En quelques mois, le député et président de la Corrèze a réussi à s’imposer comme un prétendant sérieux dans la course à l'Élysée. Une ascension qu’il doit entre autres à son image et à un concept : celui du candidat qui promet d’être un président « normal », mais aussi et surtout à l'affaire de Dominique Strauss-Kahn. Ce qui ne fait pas de lui, défend-il, un candidat de substitution.
JK.. | Publié le 24.06.2011, 12h40 | Mise à jour : 27.07.2011, 16h09